Peu après la célébration, la paroisse St. Alban's se rende compte qu'il y a un probléme de financement de Gillmor Hall. La paroisse n'était pas au courant du fait qu'elle ese légalement incapable de signer une convention hypothécaire en son propre nom. Aux yeux de la loi, le diocèse d'Algoma est le corps dirigeant de l'église, et le Comité de direction du diocèse refuser de signer le contract parce que les membres ne sont pas d'accord avec les modalités.
La Brockville Trust Company veut absolument que l'église trouve des membres de la communauté pour signer une convention accessorie, selon laquelel les garants seront responsables de rembourser le prêt. Vingt personnes acceptant la responsabilité à l'égard de la salle paroissiale et signent le contrat. Sous peu, ces gens se rendent compte qu'ils seront personnellement responsables de rembourser l'hypothèque, les intérêts, les impôts et les frais d'assurance, si l'église ne peut pas rembouser l'hypothèque.
Afin de protèger leurs intérêts, un certain nombre des garrants prennent l'exploitation de la salle en main et s'assurent que les factures et les impôts sont payés. Cette situation met à rude épruve la relation entre les garants de l'immeuble et les autres membres de la paroisse.
De nombreux problèms surgissent pendant les années 1930 et 1940 en raison de la Grande Dépression et des préjugés évidents du Conseil municipal à du Conseil municial à l'égard de la paroisse anglicane.
En 1950, le Conseil municipal avait commencé à traiter les anglicans de la même façon que les autres confessions religieuses, et les relations s'améliorent.
La communauté anglicane tient de nombreuses activités sociales à Gillmor Hall, et on loue souvent la salle à d'autres groupes. La salle accueille souvent des fêtes et de réceptions de mariage, ainsi que des activités sociales, notamment des danses. Les orchestres de musique locaux fournissent la musique.
L'estrade dans la salle permet à l'école du dimanche, aux Guides et aux Dames auxiliaires de présenter des productions théâtrales. En décembres 1937, on présente une pièce représentant la Nativité, qui connaît un grand succès.