Fonder une école anglophone à part entière

En février 1919, l'effectif était devenu trop élevé à l'école Central et l'évêque Scollard recommande que le Conseil scolaire construise une nouvelle école dans chaque quartier. Le conseil, avec l'approbation des contribuables, commence à acheter et à transformer des maisons dans des quartiers où on a besoin d'écoles. Parmi les écoles que l'on construit, on compte les écoles Sainte-Marie, Saint-Albert et Nolin.

École St. Aloysius. Photo gracieusement tirée de la Base historique du Grand Sudbury.Durant une réunion des contribuables, en décembre 1920, un des conseillers suggère de construire une deuxième école Central pour les anglophones, de sorte qu'ils puissent commencer à créer leur propre système d'enseignement. On discute de cette motion avec passion et, en fin de compte, elle est adoptée par une voix. Cela entraîne l'embauche de religieuses anglophones pour enseigner aux élèves anglophones, en 1921. En 1922, le Conseil scolaire avait adopté une motion stipulant que les religieuses étaient responsables de l'enseignement de tous les cours offerts en anglais. Cette déclaration entraîne la séparation des systèmes éducatifs anglophone et francophone, bien qu'ils relèvent toujours du même conseil d'administration.

En septembre 1923, on avait ouvert une nouvelle école Central pour les élèves anglophones. L'école Saint-Aloysius compte huit salles de classe consacrées à l'enseignement des enfants anglophones.

 

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